Aujourd’hui, procès du harcèlement scolaire à Chateau-Gontier avec notre spectacle « Tous les jours » au Collège Paul-Émile Victor !
Deux représentations pour les élèves.
« Tous les jours » Procès du harcèlement scolaire pour 2 comédiens et 19 sweats à capuche
De et avec Antoine Meunier et Sébastian Lazennec
Son : Julien Leguay
Photos : Pascal Boudet
Renseignements : ecrire@groupedeja.com
Production et diffusion : Emilie Métris
Danseuse de formation, Loïs Husson entre dans la compagnie de théâtre Pollen dirigée par Katarzyna Kurzeja en 2017 après avoir étudié à l’Institut Supérieur des Arts de Toulouse. Elle danse la même année pour Willi Dorner sur la performance « Bodies in urban spaces ». S’ouvrant à de nouvelles disciplines, elle travaille le chant et les claquettes à l’Institut National des Arts du Music-hall au Mans de 2018 à 2021. C’est là qu’elle se forme plus intensément au théâtre d’improvisation et à l’écriture de plateau avec Sébastian Lazennec. Lors du confinement elle se met à la chorégraphie. À travers les réseaux sociaux, elle crée le projet « Une minute par jour avec Philippe Katerine » en proposant des chorégraphies quotidiennes sur des morceaux de l’artiste francophone. C’est après plus de cinquante vidéos qu’elle décide de poursuivre son travail de chorégraphe en collaborant avec le vidéaste Antoine Leveau. « Happy Meal », « Angiosperme » et « Triple Cheese » sont trois courts métrages qu’elle imagine, met en scène et chorégraphie.
Diplômée de l’INM en 2021, elle monte sa propre compagnie de danse-théâtre intitulée Glossy Blood. Actuellement, elle danse dans la nouvelle création de la chorégraphe Marie Lenfant.
En parallèle d’une formation « classique » de comédien au conservatoire d’Art dramatique (Le Mans) puis à « L’école du Passage » (Paris) avec Niels Arestrup et Alexandre del Perugia, Sébastian Lazennec signe sa première mise en scène à 18 ans : « Classe terminale » de Obaldia. Dès 1992 il co-fonde et co-dirige la Cie Utopium théâtre et sa structure Utopium productions pendant 25 ans. Ce qui l’amènera à faire le tour de l’Europe avec ses créations théâtrales. En 2006, pour affirmer une identité artistique plus personnelle, il crée le collectif Grand maximum et travaille avec des comédiens non professionnels, puis, en 2013, il fonde la Cie Déjà avec Antoine Meunier. En 2018, Utopium théâtre s’arrête et Utopium productions fusionne avec la Cie Déjà pour devenir Groupe Déjà. Groupe Déjà est dirigé par Sébastian et regroupe tout son travail et ses créations. Depuis 1992, Sébastian n’a cessé de se former, que ce soit en théâtre avec Jean-Christophe Meurisse, en clown avec Michel Dallaire, Catherine Germain, Tom Roos, en cascade avec Stéphane Filloque ou encore il y a quelques années avec Didier Lastère et François Chaumette. Il a également signé plusieurs mises en scènes pour « Thé à la rue« , « Micro Focus« , « Paf théâtre » … Ses créations explorent des moments de vie, confrontent la mélancolie et l’humour, le vrai et le faux, l’absurde et le réaliste, l’ordinaire et l’extraordinaire, l’humain…. En parallèle et depuis 1993, il n’a cessé de travailler pour l’audio-visuel en tant qu’acteur (Premier et second rôles dans des courts métrages, voix pour lecture de roman audio, rôles dans films institutionnels et publicités TV, second rôle téléfilm France2…)
Après avoir tenté plusieurs cursus : psychologie, histoire, éducation spécialisée,… en 2008, il se l’avoue : ce qui l’intéresse c’est le théâtre. Il co-fonde la même année la Cie A Brûle pour points, à Angers. Il participe à de nombreux projets artistiques collectifs tels que « Gares folies » au Creusot et de nombreuses actions menées par « La rue du milieu » en Maine et Loire. Il met également en scène et écrit pour des ateliers théâtre enfants et adolescents gérés par la Cie du Thé à la rue. En 2012 il intègre Utopium théâtre. Pour lui, l’art, en plus de devoir être accessible à tous, doit alerter, créer l’échange et être une soupape de décompression pour le public. En bon utopiste, Il pense que la culture favorise le vivre ensemble. Il aime à croire qu’on peut même ne pas se prendre au sérieux…